Un elfe sans âge...

Une ombre marchait dans les rues de Arkhenet. Il attirait l'attention, car bien que marchant au milieu de rues achalandées, pleines de marchant lui proposant mille et une babioles, il ne peinait mot. Enfin arriver à la place publique, il s'assit au milieu de l'esplanade qui, quelque fois aborait la tritesse et la mort de la potence et d'autrefois les rires gais des enfants venant voir un amuseur plublic ou une troupe de théâtre de grands chemins. Ne disant toujours rien, il releva sa capuche. Aux lignes trop fines pour être un homme, on hésitait entre le demi-elfe et l'elfe. Au teint et aux cheveux foncés, rare pour un elfe, il possèdait une cicatrice en forme de demi-lune sur la joue. Au début, les enfants furent effrayer par un tel visage empreint de calme et de tristesse. Puis, ils décidèrent de le transformer en jeu. Le premier qui réussirait à le faire rire. Bientôt, les parents inquiet de voir leur enfants ne pas rentrer, les cherchèrent. En les trouvant, ils ne purent s'empêcher de s'apprêter au jeu. Au fur et à mesure, la moitié de la population devait le regarder et, en envoyant les bouffons, les rigolos des tavernes et les enfants, s'apprêterent au jeu. Il éleva enfin la voix. Grave, porter par le vent, elle résonna tout au temps que ses paroles elles-même.

- Je suis le prophète de la lune rouge. Je suis venu vous annoncer que si vous continuer à prendre de l'expension, coupant les arbres, exploitant les mines, elle se vengera d'elle-même.

Il se mit à pleuvoir.

-Regardez ses goûtes... Votre temps s'écoule...

L'elfe Laroz passait le plus clair de son temps au château depuis quelque temps. Il sortait se balader dans la ville et dans la forêt au crépuscule ou lorsque le temps était chargé d'énergie comme lors d'un orage ou d'une pluie. Lors d'une de ces balades il vit l'étrange attroupement sur la place publique de son fief. Il avait quelque peux étudier les bibliothèque du château et d'après ce qu'il voyait cet elfe devait être un adepte de Galandor. Mais n'ayant reçu aucune formation en la matière il ne pouvait en être sur. Quoi qu'il en était il décida d'approcher son frère de sang.

Je vous salut elfe d'une autre contrée. Je comprend le but de votre quête mais je la prédis voué à l'échec. La nature est essentiel et indispensable mais il est inutile de chercher querelle à son antithèse. Le monde doit garder un certain équilibre sans quoi il sera voué à l'anéantissement le plus total. Les bipèdes n'entendent que ce qu'il veulent et n'agissent qu'en leurs intérêts. Malgré vous intention louable vous ne pourrez arrêter ce monde. Que les dieux vous sourient et que Quariador vous portes. À la violence le monde ripostera. À l'incompris il s'interrogera.

Sur ces mots Laroz continua sa balade malgré l'eau qui lui ruisselait sur le visage.

Il leva son regard. Sourit. Une mèche de cheveux collante par la pluie cachait une partie de son front. Puis il dit tout bas:

- Je m'y attendais.

En ajustant le son de sa voix pour que le peu de badeau qui restait puisse l'écoute.

- Je m'y attendait. AHAHAHA (rire bien que vif, était dénué de toute malveillance) Ce frère, bien que ami de la terre, est aveugle. Je suis un prophète... ce que je vois maintenant, ce passera peut-être dans 1000 ans, sinon plus. Regardez bien autour de vous. Que voyez-vous? La forêt est remplacé par les maisons de bois, qui eux-même sont remplacés par les maisons de pierre, les clairières disparaissent pour laisser voir les chemins de terre, qui eux-même sont remplacés par les chemins pavés... Jusqu'ici ont est bien. Suffit de sortir de la ville pour retrouver l'équilibre. Maintenant réfléchissez... si la ville prend de l'expension... estimons la à 10 fois plus grande... si la guerre ravage vos coeurs, que les arbres fassent des arcs, que les trous creusés à même le sol déracine les arbres, si les maladies, champignons, et autres poisons s'attaquent à notre eau pur, nos arbres encore grand.... Que reste-il..? Je vois bien que vous êtes aveugle... Je vois bien que tous ce qui vous intéresse s'est la guerre prochaine... Et bien soit, puisque vous êtes niais...

Pointe un homme.

- Toi, tu mourra empaler par un piège de l'ennemi.

Et un autre.

- Toi là, ne sens-tu pas ses flèches qui te transperceront?

Et encore un autre.

- n'accepte aucun duel... tu perdras.

Sous les milles et une menaces de mort projetées, la petite foule tenace se disperça, cherchant à s'abriter sous un abruit ou le confort d'un feux dans une maison.

Doucement, il dit:

- Et voilà... une autre...

Une elfe, couroner s'approcha de l'elfe qui parlait, de pas assurer, elle lui sourrit, puis commença à parler sans qu'on ne sache dout pouvais advenir la voix.

"Mon cher, vous avez totalement raison, mais sans civilisation, que crois tu que nous deviendrions? nous avons besoin de ça. Je ne crois en aucun dieu, car les dieu mon délaisser, la nature ma aceuillis a bras ouvert, j'ai vécu des année sans civilisation, j'ai presque été tuer par la vie naturel, et quand je suis entrée dans la ville de mon nouvel époux, j'ai su que j'avais besoin de cela, pas nécéssairement tout détruire pour avoir plus car, nous avons besoin de faune et de flores, mais seulement avoir des villes pour nos citoyens et confreres. Si tu es prophète, tu le comprendra et tu sauras que j'ai raisn, sinon, tu te ment a toi même."

L'elfe le regarda et lui dit.

"si tu veux parler de tout ça, fais le avec moi, car tu n'aura pas vraiment de réponse ici, je suis dans la ville de Lothiawin. Je suis Reyne de ce royaunme, tu n'as qu'à faire demande à mon nom, et je viedrai te voir."

Ell commença à marcher pour retourner a ça ville pour l'occuper tout en gardant l'oreille attentive pour voir si on allait lui parler.

[HRP]

Citation :

Une ombre marchait dans les rues de Arkhenet.

On suppose qu'il s'agit de la capitale, Mit Delafair. Mais en aucun cas sa se passe dans ton royaume. Désoler mais ton message ne peut-être là Enfin ce n'est pas à moi de juger [HRP]

Quel dommage, ce n'étais que pour dire quelque Mots a ce jeune homme...

Mais désoler devous importuner... je déguerpierai... si cela peut vous faire plaisir...

[Hrp] Et les visites? Sa fait quand même deux jours que je crêve là sous la pluie... Vous savez, on dit que les rumeurs court plus vite que les hommes. Peut-être a-t-elle été attiré par un grand, beau et à moitié jeune elfe qui est de plus un prophète! [Hrp]

Étant resté de marbre devant un tel discour, il finit par sourir.

- Reyne, n'est-ce pas un titre pompeux? C'est vrai, il la regarde, vous êtes belle. C'est vrai, vous êtes assez hautaine. C'est vrai votre démarche n'est égale qu'à votre courroux. Vous n'avez qu'à cliquer des doigts et des forêts de milliers de vie disparaissent, vous n'avez qu'à appeller la garde pour qu'on m'arrête immédiatement. La question est plus tôt le ferez-vous?

Son sourire s'élargit.

Puisque vous êtes la première à m'offirir logis, j'accepte.

Se lève et poursuit la dame.

J'espère au moins que votre statut de Reyne vous offre la possibilité d'avoir des invités... Et j'espère que votre grandeur possède de grands lits chaud... Je commence à avoir froid...

Se retournant en entendant le demi elfe lui parler. elle pris parole.

"ne vous inquieter pas, mon chateau est assez grand pour plusieur centaine de personne.. et meme plus... et si le roy n'est pas heureux de mon chox, je m'en fou, j'ai fait mon choix, qu'il vive avec cela, ce ne sera pas pour des mois de toute mainere."

le regardant avec pitier, il avait triste mine.

"Suiver moi, nous allons au chateau, et de tote maniee, je ne peux trainnr dans le coin..."

Lui fesait signe de la suivre, elle avanca dans les profondeur dune foret lugubre....

"Mais Que fesiez-vous dans cette... Ville là? pourquoi n'etes-vous pas venu a nos porte?"

Vagabondant à ses côté, ayant troqué l'homme mystique par le joyeux lureux, le fendant, celui qui, à défaut de peut-être la connaître, prenait plaisir à faire comme si!

- Pour moi, une ville n'est égal qu'à une autre. Je passe mon message, car je suis bien messager et non écrivain du furtur, en attendant d'être entendu. Maintenant que vous m'offrez l'asile, j'en userai à votre aise. Comprenez moi bien par cela que mes voyages sont terminés... Je trouverai un coin paisible et m'y établirai... Il faut croire que cela dérangera certains confrères, j'ai bien l'intention de divulguer mon savoir et ma poésie... que cela plaise ou non. Quoi de mieux pour une Reyne que d'être divertit par une personne qui veut être divertit à son tour. En sommes, je connais les contes et histoires de tant de pays, de villes, de villages, que je pourrais vous y faire vivre jusqu'à la fin de vos jours...

[hrp] Et bien voilà, mon lieu de départ est officiellement compris... merci aux participants... je fais de ce pas demander d'être joint a groupe... en attendant évidemment qu'On discute de mon statut de Nomade (voir la taverne) ... Si dans toute bonne ville, il y a un roy... il y a aussi un fou... Du pain et des jeux, rappelez-vous! [hrp]

Regardant le prophète de la nature suivre la Reyne du royaume maudit Laroz jura dans sa barbe. Il les suivis des yeux d'un regards sombres avant de parler seul à voix basse,

Quel sorte de prophète de la nature est-ce là? Il accepte de se réfugier dans la civilisation au premier signe de pluie. Qu'Iphukiir les foudroient pour les ramener à la réalité.

Laroz s'enfonça dans la forê puis s'assit au centre d'une clairière et resta là... sans bouger...

[Hrp] Comment, premier signe de pluie...!! Sa fait deux jours que je me les gèle en attendant que quelqu'un deigne me parler... alors, pour moi ce qui est du fait que sa soit la Reyne du monde maléfique...je m'en tape un peu étant neutre... on se demande presque qu'elle royaume à le plus d'hospitaliter [hrp]

[HRP]Normalement les adepte des dieux de la natures(dans la plus part des jdr) refusent de rester en ville et ne sont pas incommodé par la pluie. Il ne metteront généralement pas un pied dans la civilisation à moins que leur dieu leur ordonne. Bon on arrête de flooder là [/HRP]

Des gardes royaux de Arkheneth avait entendu passait par là et vit l'étrangé.

Qui êtes-vous?

[hrp] ... pour réellement finir avec le floodage... Tu as supposé que j'étais un Druide... alors que je dis clairement être prophète... tu as malheureusement pris le message pour le messager [hrp]

Étant en vie discussion avec Dame Forosia, il s'arrêta. Il chuchota si bas que seul la Reyne pouvait l'entendre.

- Fuyez

Puis se détourna vers les deux gardes.

-Mauvaise question, merssieurs. La bonne question est: qui êtes-vous vous? Que de minables soldats, à peine plus haut que garde des valets, viennent arrêter de nobles gens comme nous. Décidemment, l'hôspitaliter de cette ville n'est pas à son fort... On vous prend pour quelqu'un d'autre, on n'offre pas l'hospitaliter à un misèreux et maintenant qu'il a trouvé preneur, on l'arrête jaloux de ce que l'autre peut faire.Allez y messieurs, arrêtez-moi... Mais arrêtez moi avec raison! Si vous en cherché une... dites que c'est moi qui dira à votre femme de quel façon vous l'avez horriblement trahis! En plus, avec la femme du boucher... quel costaud celui-là!

Il rit encore.

- L'ordre publique.... mais laquelle, regardez autours de vous, il pleut depuis deux jours... personne n'est sortie de chez eux... C'est parce que vous n'avez rien à faire que vous m'arrêté, ou c'est parce que je trouble votre air?

L'elfe n'ayant écoute ce que le prophète avait dit regardait les gfarde royale et l'autre elfe ce parler...
Un soupir sortit de sa bouche, un soupir d'impascience.

"Laisser le donc tranquille, ne vous a t il rien fait ce pauvre et maleuheureux jeune homme? aurai-je le droit, en tant que raine de lothiawin, de faire venir ce pauvre vaniteux dans mon heumble royaume pour l'hospitaliser?"

Renvoyant un soupir fort, et foudroyant les garde de son regard vide et sans émotion de joissance...

Hahahahahahaha!!!!!!

Vous voyez les gars, non seulement il se moque complêtement de nous mais il se fait défendre par une femme. Et vous reyne hérétique, vous donner des ordres au gardes d'un royaume dont vous n'Avez aucune juridiction?

Disons qu'il n'est plus sous votre juridiction... il est a lextérieur de la ville! Il rentre dans le mien! Regarder le dont, il n'a pas lair assez piteux.. laisse rle faire ces choix et non ceux que vous voulez, laisser le partir!! laisser le faire ces choix, ce nes pas comme si cétait votre enfant et que vous aviez peur qu'il vous fasse des cachoterie. Il vien de la foret pour vous avertir des danger qui peux vous arriver etvous tout se que vous trouvez a dire, c'est revener ici, on va vous mettre en prison, Vous n'avez aucun bon sens, meme notre royaume a plus de civilter!"

Puis ésouffler de parler, elle s'arréta et s'accota sur le tron d'un arbre gigantesque